Derm Ink c'est bourré de marketing, certes.
Néanmoins, il faut distinguer le baume, le gel nettoyant et la crème protectrice dont tu parles.
Le baume (15€ les 120 Ml) est moins cher que l'Epitheliale A.H et nettement plus confortable que la BEP/vaseline.
[J'ai essayé] - Pour une parenthèse de 15 à 30 jours de cicatrisation, le produit se défend très bien, et la "ruine financière" est de l'ordre du centime. Son application est agréable ; il ne tache pas les vêtements (=pratique au travail quand ça commence à démanger).
En revanche, le flacon-pompe est une fausse bonne idée : il s'enraye systématiquement à la moitié. Ça signifie qu'il faut le découper, et transvaser le baume ailleurs ?! Et ça, c'est un vrai argument contre ! (Il existe en tube, mais - étrangement - ça fait grimper le coût au ml).
La crème protectrice à 20 euros dont tu parles, c'est autre chose...
Elle est destinée à un usage
à long terme qui va
"sublimer vos tatouages", les protéger du soleil (SPF 15 !) et des agressions extérieures (pollution, sharknado, etc.)Là, je dis halte à la crème de perlimpinp-ink$.
En résumé je dirais que l'intérêt de Derm Ink est de convaincre avec l'expérience du baume à 15 euros (1 fois) pour garder le client avec la crème à 20 euros (à vie). Il vise le client CS++ de chez Colette.
Faites comme aux soirées de l'ambassadeur : essayez le baume et tirez-vous.